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Online Cash : comment connecter des entrepreneurs visionnaires à de jeunes groupes cibles.

À l’âge de 15 ans, Moritz Lechner est l’un des plus jeunes entrepreneurs d’Autriche. Sa Freebiebox a tellement convaincu trois investisseurs renommés lors d’une émission télévisée autrichienne que ceux-ci ont même investi 125 000 EUR.

Le fait que Lechner et sa nouvelle équipe intègrent désormais comme méthode de paiement Paysafecash, la nouvelle méthode de paiement de paysafecard pour le commerce électronique, montre l’importance que les jeunes entreprises accordent à des solutions de paiement innovantes telles qu’Online Cash pour s’adresser à de nouveaux groupes cibles. 

 

« L’idée de Freebiebox m’est venue quand j’avais 13 ans », explique Moritz Lechner, au moment de réagir avec un peu de retard à une demande d’interview parce qu’il avait encore des devoirs à faire à la maison. « J’y ai alors réfléchi pendant un certain temps pour finalement conclure : Just Do it! Tu n’as pas de famille à nourrir ni d’enfants en bas âge, que peut-il bien t’arriver. » Des paroles qui ont de quoi surprendre. 15 ans, n’est-ce pas plutôt l’âge de jouer au foot ou de faire du skateboard, d’embrasser sa première fille ou de passer en secret ses nuits blanches à jouer en ligne ?

 

À 12 ans vers le capital-risque

Mais Lechner brûlait depuis toujours de la passion de devenir un entrepreneur. À l’âge de 12 ans, il a écrit une lettre à Marie-Helene Ametsreiter, partenaire chez Speedinvest, et a ainsi obtenu un stage auprès de la société de Venture Capital. À 13 ans, il a créé Freebiebox avec 100 EUR d’argent de poche et a expédié ses premiers paquets depuis sa chambre d’enfant. Et il avait 14 ans quand son entreprise devint une GmbH (SARL), alors que c’est absolument impossible en Autriche. Car Lechner est ambitieux, a des idées, est éloquent et veut façonner les choses.

 

Mais qu’est-ce en fait que Freebiebox ? Les clients peuvent, pour 25 EUR, acheter en ligne un paquet contenant des articles publicitaires haut de gamme. Un logiciel développé à cet effet sélectionne ces derniers et adapte les articles exactement aux besoins et préférences des acheteurs. Les clients de Freebiebox doivent pour cela remplir préalablement un questionnaire correspondant. L’avantage : ces derniers sont surpris de recevoir par voie postale des articles qu’ils veulent vraiment avoir et pour lesquels ils économisent jusqu’à 70 % par rapport aux prix en magasin. Les boîtes peuvent par exemple contenir des écouteurs, des bottes en caoutchouc haut de gamme, des lunettes de soleil, des sweatshirts ou des clés USB. L’avantage pour les entreprises qui mettent gratuitement des articles publicitaires à disposition : elles n’ont plus de pertes de diffusion grâce à une attribution précise à des groupes et peuvent se débarrasser des stocks d’articles publicitaires qui leur sont restés sur les bras. Les acheteurs de Freebiebox deviennent en outre automatiquement des supports publicitaires.

 

Acquérir de nouveaux groupes de clients

Les gens très jeunes constituent un groupe cible intéressant pour cette idée commerciale. Leur argent de poche les oblige à contrôler leurs dépenses alors qu’ils sont très sensibles aux marques. En outre, beaucoup n’ont pas encore de compte. « Je connais paysafecard depuis une éternité », ajoute également Moritz Lechner à propos de la notoriété de l’alternative de paiement prépayé dans son groupe d’âge, « surtout chez les joueurs en ligne parmi mes amis, les codes PIN paysafecard font partie du quotidien. J’ai donc pris très tôt conscience du potentiel d’une telle option de paiement pour s’adresser aux groupes cibles jeunes. » Grâce à Paysafecash, Lechner élargit sa clientèle d’un groupe cible supplémentaire. Car les chiffres en sa possession démontrent que de nombreuses personnes plus âgées sont réticentes à payer la Freebiebox avec une carte de crédit par peur de failles de sécurité.

 

« Nous avons testé ce point deux mois avant l’intégration et avons été très satisfaits des résultats » explique-t-il. Et l’intégration elle-même ? A-t-elle été difficile ? « C’est juste un plug-in sur notre page Wordpress. Ça n’est donc pas un problème. » Les clients peuvent maintenant commander la Freebiebox en ligne, imprimer un bon et payer en liquide auprès de l’agence partenaire Paysafecash la plus proche. Par exemple auprès d’un bureau de tabac ou dans une station-service. Quiconque souhaite payer pour quelque chose en ligne ne trouvera aucune alternative plus sûre. Pour la jeune entreprise de Lechner, ce point a joué un grand rôle dans la décision en faveur de Paysafecash. Car il n’y a pas de remboursement. Car lorsque l’argent a été payé, il va à la Freebiebox et ne peut pas être remboursé.

 

Perfect Match Paysafecash (parfaite adéquation avec Paysafecash)

Le jeune entrepreneur et l’innovation de paiement Paysafecash forment ainsi un « perfect match », une adéquation parfaite. « Je remarque ça aussi à l’état d’esprit des gens qui travaillent chez Paysafecash » déclare Lechner. « Ils ont la même mentalité de start-up que nous. » Ça n’est pas étonnant : l’histoire de paysafecard a en fin de compte commencé sous la forme d’une start-up il y a presque 20 ans. Sauf qu’on n’appelait pas ça comme ça en ce temps-là. Qu’est-ce que Lechner aurait donc à dire aujourd’hui d’entrepreneur à entrepreneur au DG de paysafecard Udo Müller depuis son point de vue tout frais des choses ? « L’esprit d’innovation doit demeurer dans une entreprise, faute de quoi celle-ci stagne », dit-il en riant et en sachant bien entendu que l’ensemble du groupe Paysafe et son énorme portefeuille fait partie des prestataires de services de paiement les plus innovants de la branche.

 

Lechner lui-même a d’ailleurs encore beaucoup de projets avec la Freebiebox. Grâce à l’argent frais apporté par les investisseurs, il aimerait dans une prochaine étape conquérir tout le marché DACH. Et peut-être ensuite le monde entier ? Comme paysafecard ? « Ce serait déjà un rêve de diriger Freebiebox un jour à partir d’un bureau dans la Silicon Valley », déclare-t-il. « Mais il y a encore un long chemin à parcourir jusque-là. Freebiebox ne sera en outre sûrement pas la dernière entreprise que je créerai. » Avec ses 15 ans, il a assurément encore assez de temps devant lui.